Je n’ai jamais trop aimé Noël, qui a toujours eu pour moi un goût de déception (et cette année pour ça je suis gâté, avec la veillée du 24 que je vais passer tout seul). Mais cette chanson en parle de façon tellement enchantée…
Comme souvent chez Jean-Louis Murat, ça commence par des sons de la vie quotidienne à la campagne (ici une scie en train de couper le bois pour le feu). Puis les clochettes entrent en scène, on croirait entendre un traîneau s’approcher.
« Puis soudain… »
« Pâtre blond, vieillard en guenilles,
oh jogger du pays sans nom,
je t’attends ce soir à minuit pile,
je t’attends ce soir à la maison »
Je vous souhaite un joyeux Noël. Profitez bien de la présence de vos proches.