Les grandes soirées du 31, ça n’a jamais été mon truc, mais cette année ça va drôlement me manquer. J’aurais adoré danser toute la nuit, de préférence avec la femme que j’aime (d’où le choix de ce titre).
Le texte n’est pas celui d’origine. Les premiers mots, qui parlent de parcourir le corps de l’autre librement et sans inhibition, prennent un sens particulier en cette année marquée par les confinements, les masques, la distanciation physique et les gestes barrières…
« I want you to breathe me in
Let me be your air
Let me roam your body freely
No inhibition, no fear »