Encore un titre rafraîchissant et sucré du beau gosse de la pop anglaise actuelle, dont Aurore est une grande fan, et dont j’apprécie beaucoup le style et le groove.
Celles et ceux qui ont l’esprit égrillard et/ou une libido bien active comprendront vite, en écoutant cette chanson, et surtout en regardant le clip, qu’il y a un sens caché: c’est la chanson la plus Sea, sex and fun de l’ex des One Direction. À l’origine, Harry a expliqué qu’elle était inspirée par un best-seller de Richard Brautigan, In watermelon sugar, qu’il avait vu traîner par hasard sur une table pendant qu’il bossait en studio à Nashville (« Ce titre sonnait bien » ). Mais il a un soir vendu la mèche en plein concert, à Nashville également, en taquinant le public pour lui faire deviner la prochaine chanson de sa setlist (« Il s’agit de la douceur de vivre » ), puis en lâchant le morceau: « La chanson est en fait inspirée de l’orgasme féminin » . À ces quelques mots les fans sont évidemment devenues dingues, mais l’histoire ne dit pas s’ils ont suffi pour provoquer des vapeurs dans le stade…
Si vous avez la curiosité de regarder la vidéo, vous aurez la confirmation que ça parle de tout autre chose que de pastèques (fussent-elles de la variété « sugar baby » , comme celles que je cultive). Les images d’Harry au bord de la mer, entouré d’une tripotée de jeunes filles affriolantes, tout ce beau monde croquant goulûment dans des quartiers de pastèques, évoquent une manière particulière de provoquer ce fameux orgasme féminin…